Communiqué de presse
Monsieur Eddy Savoie porte officiellement sa cause en appel
SAINT-LAMBERT, QC, le 27 août 2014
Monsieur Eddy Savoie a décidé de faire appel au jugement rendu le 15 août 2014 par le juge Gary Morrison de la Cour Supérieure du Québec qui octroie à Mme Pierrette Thériault-Martel près de 90 000$ pour ses frais d'avocat, 10 000$ en dommages moraux et 200 000$ en dommages punitifs. Ceci étant le plus haut montant jamais accordé en dommages punitifs pour des cas semblables au Québec.
Monsieur Savoie ne conteste pas et n'a jamais contesté le droit à la critique malgré tout ce qu'on en dit. En fait, il a simplement maintenu devant le tribunal que des propos faux et diffamatoires à son égard avaient été prononcés par Mme Thériault-Martel. Ceci a d'ailleurs été fermement confirmé en contre-interrogatoire. Le tribunal se devait donc d'en tenir compte avant de prononcer toute sanction à son égard. Le juge de la Cour supérieure s'est toutefois refusé de considérer la conduite de Mme Thériault-Martel malgré la preuve évidente que ses propos étaient faux à l'égard de monsieur Savoie. Nous réitérons que monsieur Savoie n'a jamais donné l'ordre ignoble à des préposés ou à qui que ce soit d'autre, de cesser les changements de couches des résidents du CHSLD Saint-Lambert-sur-le-Golf lors d'un cas de gastroentérite parce que le budget était pété tel que faussement énoncé par Mme Thériault-Martel.
Juridiquement, les tribunaux exigent toujours que les personnes demandant un redressement à une Cour de justice aient les «mains propres» c'est-à-dire, qu'ils n'aient rien à se reprocher dans le dossier en question. Néanmoins, dans ce cas, c'est un facteur qui n'a même pas été examiné.
Monsieur Savoie déclare aujourd'hui qu'«en dépit du montant démesuré du jugement, ce qui m'importe davantage, c'est que le juge n'a pas tenu compte du fond du dossier, soit les propos diffamatoires faits par madame Thériault-Martel, même si ceux-ci ont été prouvés faux. La justice se doit de tenir compte de la conduite des deux parties.» Le juge n'a pas voulu tenir compte de la faute de madame Thériault-Martel.
Monsieur Savoie poursuit en déclarant qu'«il ne s'agit pas d'acharnement de ma part à l'égard de madame Martel. En fait, je veux que la Cour d'appel réexamine l'affaire et qu'elle confirme si la Cour supérieure peut imposer une pénalité sans tenir compte des propos diffamatoires qui ont donné lieu initialement à la poursuite. Je crois que tous les citoyens ont intérêt à connaitre ce verdict et moi le premier. Tout comme la grande famille qui me soutient, je garde une grande confiance en la justice.»
Renseignements:
Groupe Savoie, (450) 449-1516, kdmarcil@residencessoleil.ca